Quelle chanson fantastique !
Irradié,
Irradié,
Je suis le sage, le fou, le débile
Je suis du village l'idiot
Et j'entends les rumeurs de la ville
Irradié,
Je suis le sage, le fou, le débile
Je suis du village l'idiot
Et j'entends les rumeurs de la ville
J'entends les passages cloutés
Bercants les piétons sages
Au rythme des feux verts
Dans le désert des embouteillages
Irradié,
Voyageur immobile,
Irradié,
Je suis le sage, le fou le débile et
Je suis du village l'idiot
Et j'entends les rumeurs de la ville
Bercants les piétons sages
Au rythme des feux verts
Dans le désert des embouteillages
Irradié,
Voyageur immobile,
Irradié,
Je suis le sage, le fou le débile et
Je suis du village l'idiot
Et j'entends les rumeurs de la ville
Compagnon des lézards obscènes
Je déjeune à minuit
Des girafes rôties
Qui battent encore de l'aile
Sous le menton crochu des sorcières malsaines
Irradié,
Voyageur immobile,
Irradié,
Je suis le sage, le fou le débile
Je suis du village l'idiot
Et j'entends les rumeurs de la ville
Je déjeune à minuit
Des girafes rôties
Qui battent encore de l'aile
Sous le menton crochu des sorcières malsaines
Irradié,
Voyageur immobile,
Irradié,
Je suis le sage, le fou le débile
Je suis du village l'idiot
Et j'entends les rumeurs de la ville
Je suis
Celui qu'on veut,
Celui qu'on croit,
Celui qu'on voit danser sur les nuages bleus
Celui qu'on veut,
Celui qu'on croit,
Celui qu'on voit danser sur les nuages bleus
Tirant des cordes de ma lyre
Des sons hallucinants
Qui font bondir
Les petits du tapir au fond des entonnoirs,
Les soirs où sur eux s'abattent
Fièvres et cauchemars
Des sons hallucinants
Qui font bondir
Les petits du tapir au fond des entonnoirs,
Les soirs où sur eux s'abattent
Fièvres et cauchemars
Je suis la dame en noir,
L'elfe tout blanc,
Je suis, je suis le placide éléphant
Qui, balancant sa trompe à travers la futaie,
Bouffe en revant les enfants
Du chardonneret
Connaissez-vous la druidesse, la fée
Qui d'un coup de baguette
D'un A-bra-ca-da-bra fera de moi,
Éternelle âme en peine,
L'elfe tout blanc,
Je suis, je suis le placide éléphant
Qui, balancant sa trompe à travers la futaie,
Bouffe en revant les enfants
Du chardonneret
Connaissez-vous la druidesse, la fée
Qui d'un coup de baguette
D'un A-bra-ca-da-bra fera de moi,
Éternelle âme en peine,
Un In- car- né
Sinon
Moi
Conquérant du vide
Je lance mes escouades
d'éclairs de brume et de mirages
À l'assaut des galaxies.
Moi
Conquérant du vide
Je lance mes escouades
d'éclairs de brume et de mirages
À l'assaut des galaxies.
Un irradié futur incarné et conquérant du vide, joli parcours car n'est-ce pas le vide qui nous fait peur ?
RépondreSupprimerApprivoiser le vide, en quelque sorte.
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