En témoignait le précédent billet pourtant hautement digital.😉
Dimanche dernier donc, hop, surprise au matin, quand je fais mon petit tour à la fraîche dans notre immense domaine que j'ai pris l'habitude -allez savoir pourquoi - d'arpenter à pied.
Cette surprise du matin me revient à l'esprit lorsque, un peu plus tard dans l'après-midi, en pleins travaux de jardinage, je tombe sur un invité.
Je vous le présente :
Sans doute que le matin, c'était la maman hérisson ou le papa.
Je ne connais pas leur mode de vie et je me suis renseigné ici , je vous recommande certaines phrases complètement poétiques surréalistes.
Je n'avais pas dérangé la bestiole qui pique et un peu plus tard, plus personne, elle avait fini par retrouver la haie ou les buissons...
L'invité lui s'est carapaté bien sûr, malgré nos efforts pour ne pas l'effrayer et quelques mètres plus loin, il y avait ... un frère ou une sœur, un congénère, un ami, un collègue du syndicat j'en sais rien je vous ai dit que j'étais pas bon en hérissons et bref il s'est barré aussi.
Mais cela nous a fait penser que la tanière, le terrier, le nid, la piaule ou la guitoune étaient plutôt dans notre jardin, au cœur d'un grand buisson assez épais, propice à la cachette et à la tranquillité et qui offre de plus de l'ombre juste à côté du prunier.
Je vous les présente :
Et là le mystère s'épaissit ( d'où l'expression mystère et boule de hérisson). Combien sont-ils ?
Sont-ils trois ou bien quatre si ce n'est cinq ?
Si je tiens compte des deux de dimanche, que je n'ai pas franchement reconnus hier, je dois envisager qu'ils étaient dans le lot. Ou bien un seul, ou pas du tout.
Quel feuilleton !
Bon je vous laisse avec l'un deux...
A suivre... peut-être... chut...