Invisible 2/2

Invisible  ...mais pas inaudible. 

Enfin, si l'on veut.  


Une fois n'est pas coutume, je laisse en écoute une liste de musiques.   
Le lien est en bas du billet. 42 morceaux, il y a du choix. Un petit aperçu... de ma "cédéthèque"...
 
Tous les morceaux s'enchaînent, la lecture aléatoire est possible, tout comme stop ou passer au suivant...

Vos impressions seront les bienvenues.  Et les suggestions aussi.

J'ai remis en place la modération des commentaires, et comme ma propre fréquentation sera rien moins que sporadique, ne soyez pas surpris de délais entre le dépôt du commentaire et sa publication.

Sur ce, bon été !  

 

 


 

https://www.youtube.com/watch?v=nxah4btCIGg&list=PLIjcoDnFEeEW1cyH1Z16E4UdZfXCusgEk&index=1

 

 

 

 

 

Invisible 1/2

L’été s’immisce.

Une pause s’intercale

Flairant l'interstice 

L'échappée s'installe

Sans plus d'indices

Embarquement pour l'abyssal...

Rien que l'imperceptible, 

Continent sans dérive

Accoster au probable, au possible

Mer aux couleurs vives

L'invisible comme cible 



 
 


 





 

Insister

Mercredi, c’est le jour de la deuxième phase.

Nous voici rassemblés, les stylos plumes ou à bille sont prêts.

Le groupe d’apprentis poètes est plus important aujourd’hui, il y a de nouvelles têtes, et nous continuons à partir de ce qui a été laissé en friche samedi dernier.

Si l’écriture est individuelle, sur le même principe que samedi dernier, la production est collective.

Sur plusieurs plans.

C’est un échange d’idées, d’impressions, il y a des propositions qui accrochent d’emblée, d’autres non, ou qu’on teste et met de côté, en attente, ou qu’on écarte…

On argumente, on propose. C’est le dernier temps et il faut avoir fini !

On avance, et une accroche se dessine, qu’il faut compléter.

Je cale sur un mot (exauce) qui n’est pas dans ma géographie mentale.

Pas grave.

Il est intéressant de percevoir, en écoutant les productions et les interventions, ce que chacun met « derrière » ou « dans » le mot poésie.

Je suis sûr qu’en creusant on retrouverait des débat sur le fond, la forme, des approches plus ou moins ouvertes, plus ou moins libres...

Il faut réussir à relier l’individuel et le collectif, et ce qui touche l’un ou l’une ne rencontre pas les autres. On prend, on laisse, on arrange, on assemble…

En fait je pense qu’à tous les sens du terme, dans cette situation collective – et c’est aussi pourquoi cela fait tant de bien à la vie -on compose.


Tiens aujourd’hui je vous livre les mots que j’avais retenus à la lecture :



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    Mise à jour  après une pause de trois mois, un nouveau blog  TEXTURES a démarré le 18 mai 2022. Ici.