"Qu'on
l'a borde par le flanc ou qu'on l'aborde de front,
la faille, cette
béante marge,
nous donne le vertige,
nous rebute ou nous aspire ?"
En prose ou en vers, laissez votre plume se laisser inspirer par cette faille.
En prose ou en vers, laissez votre plume se laisser inspirer par cette faille.
Un "personnage" qui n'a pas froid aux yeux et donc le corps - existant ou non - n'a peur de rien ;)
RépondreSupprimerCela peut paraître étonnant, mais en frisant l'abstraction, ce texte une fois que je l'ai écrit m'a paru apaisant.
SupprimerUne impression de ballottement, de sombrer un peu parfois, de planer....très réussi.
RépondreSupprimerC'était l'idée. Du mouvement, des forces, leurs effets.
SupprimerUn géographe serait perdu entre les plaques tectoniques et les feuilles spatio-temporelle. Un poète dans l'âme ne peut que se réjouir du mouvement des mots. Bises alpines.
RépondreSupprimerComme une transformation métamorphique à l’œuvre !
SupprimerQuand la métaphysique met son habit de lumière.
RépondreSupprimerPlaques réfléchissantes...
SupprimerFouillé le TLF : "Des feuilles faisaient du bruit comme une robe de faille." (GIONO, Un de Baumugnes)
RépondreSupprimerIl est fort ce Giono.
SupprimerMerci de la citation Tania !
faille que faille, aucun défi ne vous arrête ,)
RépondreSupprimerPierre par pierre.
SupprimerEt en essayant de ne pas être à côté de la plaque ;-)
Joli maelstrom, étourdissant et pour tout dire qui m'effraie un peu. Mais très bien tourné, ou tourbillonné. Vertigo!
RépondreSupprimerLe maelstrom est dans l'esprit ! Merci.
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