Une file de 9 "poèmes express" vient de se former dans l'espace diffractif.
Le poème express, je suis tombé dessus (et un peu dedans!) il y a sept ou huit ans lors de la lecture régulière (et toujours continuée depuis) de Lucien Suel : ICI .
Qu'il soit remercié une nouvelle fois comme déclencheur et passeur !
J'avais déjà fait sur le précédent blog Interférences des tentatives, soit à partir de pages isolées, soit en caviardant des romans pour fabriquer deux "feuilletons" (Un œil neuf et l'as des radis invendus) ...
J'y reviens donc quelques années après, voici comment.
J'avais trois textes différents au départ et j'ai utilisé chacun pour proposer trois poèmes express différents. Je suis ainsi parvenu à neuf "poèmes express" un nombre auquel vous pouvez accorder crédit, car ce n'est pas un chiffre gouvernemental.
La mise en ligne des billets permettra de lire d'affilée les trois propositions de même origine.
Première série les 9/11/13 décembre.
C'est parti, voici donc le premier des neuf !
Le neuf vous inspire, semble-t-il.
RépondreSupprimerAh, si cette préoccupation majeure était aussi celle de notre société, on mettrait les choses à neuf !
AH, je ne peux que vous rejoindre ! La suite samedi !
SupprimerOu comment faire du beau neuf avec du beau vieux... La preuve par neuf :)
RépondreSupprimerTaulière conquise
Le beau vieux, je n'en connais pas la source. Je vais chercher, tiens !
SupprimerMerci de l'appréciation.
Et la "suite" qui n'en est pas une, mais plus exactement une autre proposition, samedi !
Bravo !
RépondreSupprimerPourquoi le sens des mots s'échappait ? Parce que la pluie et le vent les avaient emportés avec les autres feuilles mortes. Seuls les persistants persistaient.
Une fort belle explication merci !
SupprimerDonner un sens neuf aux mots les rend parfois glissants mais si intéressants, merci!
RépondreSupprimerLeur rendre peut-être ce qu'on leur a pris...
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