Retrouvons Eduardo Galeano, comme un possible fil rouge... en tout cas ces temps-ci et par ici !
in Eduardo Galeano "Les Voix du Temps" 2004
Editions LUX, 2011, traduction Alexandre Sánchez
Mise à jour après une pause de trois mois, un nouveau blog TEXTURES a démarré le 18 mai 2022. Ici.
Est-ce que tu pourrais stp écrire mon commentaire car je ne sais pas trop comment dire ce que j'ai à dire? Merci. :-) Bises alpines.
RépondreSupprimerDamalpine, l'as des as du commentaire fûté ! Bises atlantiques.
SupprimerAh, joliment écrit ! Je suis en train de lire "Les voix du temps", lentement, mais sûrement ;)
RépondreSupprimerSuper ! Vous y trouverez je pense bien du plaisir à la lecture !
SupprimerC'est si bien dit !
RépondreSupprimerOn pourra se demander si et quel rôle le rhum a joué !!!
SupprimerSe gratter la tête doit être un puissant adjuvant, en plus du rhum (qu'on donne à son homme)...
RépondreSupprimerBeso méditerranéen alors !!!
Le shampoing au rhum, peut-être, effet multiplié ?
SupprimerLe dernier film d'Almodovar(vu en avt première) se termine par une phrase de E. Galeano que je ne connais pas. Pour ceux qui ont résisté comme moi au presque 2 h du film (je ne conseille pas le film..à mourir d'ennui)
RépondreSupprimerA ce propos, j'ai trouvé ceci : No hay historia muda. Por mucho que la quemen, que la rompan, que la mientan, la historia humana se niega a callarse la boca’.
SupprimerCe qui donne traduit :
Il n'y a pas d'histoire silencieuse. Autant ils le brûlent, le brisent, lui mentent, autant l'histoire humaine refuse de se taire.
Rien lu de Galeano depuis "Les veines ouvertes de l'Amérique Latine"... Ca remonte !
RépondreSupprimerOccasion de le (re)découvrir ici, dans une veine qui m'évoque Stefano Benni (Le bar sous la mer)... Merci pour la page !
La Taulière
Je note la référence, merci.
SupprimerQuant à Galeano, ses histoires brèves me plaisent vraiment beaucoup !