Au printemps (des poètes) tout n'était que désir, l'automne (diffractif) l'entretient !
Des ordres des heures cisèlent des arts fugitifs
L’usure des airs plisse l’oasis incandescente
Des ires des aises désolent des diseurs isolés
Des herbes de vie irisent des heures osées
Des vies des aires hissent des îles disertes
Des heures de désir taisent des ailes incessantes
Les voies des errances s’étirent de désordre rouge
Les voiles du désert disent des ors intenses
Belle suite allitérative et superbe trouvaille que ce "rouge" soudain qui surgit dans le "bas du tableau"...
RépondreSupprimerBravo et merci pour cet automne poétique (c'est vrai d'ailleurs, pourquoi toujours le printemps ?), lu le matin, ça donne le ton de la journée :)
La Taulière poétisée !
Merci Taulière, allitératif oui, et base aléatoire pour le point de départ ! Bonne journée et suivantes ;-)
SupprimerTous ces Zi, ces Zo et ces Ze-Zé donnent au voyage automnale des chemins de parcours de printemps, vous avez raiZZZon...
RépondreSupprimerComme un bourdonnement, en tout cas dans le projet de départ !
SupprimerJaime énormément ce vers: Des herbes de vie irisent des heures osées.
RépondreSupprimerOser la vie, la colorer, merci.
Content que tu apprécies !
Supprimerquand le zed du zut, du Zippo, du zoom ou du zoo en appelle au pluriel pour retrouver
RépondreSupprimerla poésie de ses vents alizés ...
Alizés, douceurs et zéphyrs !
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