Découvert il y a quelques années.
J'ai eu la chance d'assister à la médiathèque à un spectacle texte-musique basé sur ses histoires ( notamment le recueil "Les boîtes à mots") où l'on retrouvait bien la magie de l'auteur uruguayen.
Les voix du temps (aux éditions LUX que je vous recommande) sont toujours à portée de main, jamais loin, et je peux m'abreuver d'une ou plusieurs nouvelles quand l'envie me prend.
Fil est le titre que j'ai choisi pour le billet présentant la nouvelle, félicité aurait pu être celui du sentiment et du plaisir de lecteur !
Merci pour ce texte en ligne. Dès demain je vais chercher les voix du temps chez mon libraire...
RépondreSupprimerTrès diversifié et, dans l'esprit, si j'en crois ce que vous publiez, je pense que le fond et la forme vous plairont ! Bonnes lectures.
SupprimerLes amours épistolaires ne tiennent qu'à un fil.celui de l'imagination.
RépondreSupprimerÙn peu comme la relation Taulier /lecteurs... Et si K était un algorithme ?
Un excellent résumé chère Paula. Ce qui ne me surprend pas.
SupprimerPar contre c'est bien la première fois que -potentiellement- je suis qualifié d'algorithme ;-)
Un délice à lire ce texte de Galeano, merveilleux Galeano ! En espagnol le titre est: Bouches du temps...que je n'ai pas encore lu. Vite, vite des histoires. Merci.
RépondreSupprimerDe fait Juan Ramón Jimenez était très très timide.
Merci Colo. Tu sembles indiquer, alors que je ne l'avais pas décelé, qu'il y a un fond de vérité ou de réalité dans cette histoire.
SupprimerJe suis allé voir pour Juan Ramón Jimenez, effectivement il a été en sanatorium...