L’été s’immisce.
Une pause s’intercale
Flairant l'interstice
L'échappée s'installe
Sans plus d'indices
Embarquement pour l'abyssal...
Rien que l'imperceptible,
Continent sans dérive
Accoster au probable, au possible
Mer aux couleurs vives
L'invisible comme cible
Quand de l'été le Solstice
RépondreSupprimerEst fêté à grand bruit
Voilà que subreptices
Aux 12 coups de minuit
Ta plume et tes rimes s'enfuient
Je te souhaite sans artifice
Bon Voyage au bout de l'inoui!
Joliment dit, merci Paula.
SupprimerIci c'est l'été qui fait une pause et la pluie qui seule tisse.
RépondreSupprimerNe pas s'en laisser conter par la pluie...
SupprimerBelle échappée cher K.
RépondreSupprimerAccoste là où les flots te mèneront, c'est là qu'on est le mieux.
Merci !
SupprimerA suivre.