On peut en connaître un rayon
Et ne pas trouver le bon angle
Un triangle des Bermudes mental l’aspirait
Elle perdait pied dans la tour de Babel
Elle cherchait, lisant en diagonale
Son cerveau posté en haut de l’escabeau
Ses idées escaladant l’échelle mentale
Les pensées l’encerclaient, mystérieuse géométrie
Ses neurones miroirs restaient en plan
Thalès battait son plein et le pavé
Comment faire bonne figure ?
C’était la quadrature du cercle
Quand les hypothèses s’usent
Il faut trouver une médiatrice
Ce fut la bibliothécaire
Depuis ce jour-là, ce qu’on pensait d’elles
leur était bien équilatéral :
Jusqu’au bout des angles
Elles étaient losanges
j'aime beaucoup ce lien entre les deux premiers vers de votre poème "isométrique" , qui a fait voyager en moins de multiples visages ;)
RépondreSupprimerQuant aux "neurones miroirs" qui "restaient en plan", ils font sourire les habitants de ce monde qui ont compris que "les hypothèses s'usent" et que sans "médiatrice" ont peut sombrer dans la folie "équilatérale"...
Même les cyclistes, ça va de soi !
SupprimerCarré ment ?
RépondreSupprimeraussi sûr que équation résolue ment !
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RépondreSupprimerÙn zeugme sémantique est il isométrique ? Tel est l'angle obtus sous lequel je découvre ta pensée géométrique. Sinon ça va ?
Ma foi, restons vêtus de probité candide et de lin blanc.
SupprimerSinon, c'est demandé si gentiment, oui ça va, et toi ?
;-)
Des losanges aux anges, si je comprends bien.
RépondreSupprimerTania, reçue à 180 ° !
SupprimerAh je vois en vrai ces idées qui gravissent l'échelle mentale, quitte à s'égarer...
RépondreSupprimerEn haut ça peut chauffer !
SupprimerChez les Angles émigrés on dirait : "Los Angeles"...
RépondreSupprimerLa Taulière de par ici
PS Je pourrais dédier ce subtil exercice à une de mes anciennes cheffes qui parlait de la "quadrature du siècle". Il est vrai qu'elle disait souvent avoir besoin d'une "bouée d'oxygène"...
Anthologique !
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