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Mise à jour après une pause de trois mois, un nouveau blog TEXTURES a démarré le 18 mai 2022. Ici.
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DUO DE CES PYRAMIDES Après 6 épisodes, notre DUO marque une pause pour une durée indéterminée. Mon acolyte et très estimée con...
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Une petite exclusivité diffractive. Dans certaines situations, heureuses ou malheureuses, nos chers amis les animaux poussent des cris ou ...
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Il se réveilla une nouvelle fois. Juste là, maintenant… Oui, que faisait-il là ? Tout ça parce qu’il avait parlé de mettre la cl...
Merci pour ce poème d'Eluard que j'aime énormément. Oui, le coronabidule est parmi nous mais la guerre, c'était encore autre chose. Alors gardons foi en l'être humain en se rappelant que "l'espoir est vivant". Bises alpines... de loin.
RépondreSupprimerBeau et très fort ce poème que je n'avais jamais lu. Des mots qui font vivre, c'est parfait en ce moment en plus!
RépondreSupprimerPorte-toi bien cher K, un besito.
je ne connaissais pas ce poème qui est saisissant
RépondreSupprimerBel hommage à un résistant et aux mots "qui font vivre".
RépondreSupprimerBonne après-midi, K.
Dédé, Colo, Les Caphys, Tania > Merci de l'accueil réservé à ce texte !
RépondreSupprimerJ'avais découvert ce texte d'Eluard il y a quelques années par une BD d'Etienne Davodeau, qui porte le même nom. On y croise aussi René Vautier, cinéaste disparu il y a peu.
C'est une superbe BD qui rapporte un pan d'histoire du côté des luttes ouvrières à Brest. Je vous recommande sa lecture !