Cette édition frappée du sceau de l'étrange nous a conduit en cours de route à un carrefour pas si évident à négocier comme on dit, avec un questionnement surgi, le chien qui traverse la route, je pile ou pas, je tourne ou pas ....
Mais ... j'ai maintenu le cap.
Sans rentrer dans une exégèse lyrique, il m'a semblé que la vie, et cette vie poétique en l'occurrence, ne pouvait pas s'arrêter, d'autant que le thème, le courage, s'il laisse "rêveur" après coup, s'est révélé à la fois totalement, que ce soit terriblement et douloureusement, d'actualité dans ce que nous traversons.
Et une telle décision n'excluait pas du tout à mon sens une pensée particulière, fraternelle envers tous ceux qui ont du mal, pour tout un tas de raisons, à la traverser, justement.
J'espère juste que vous ne me rajouterez pas pour autant à la catégorie des inconséquents ou des indécents !
Je souhaite vous remercier d'être venus lire, d'avoir commenté et j'ai une pensée amicale très reconnaissante pour Paula et Colo qui ont relevé le gant en proposant des textes et des chansons !
J'aime bien le côté "petite équipe" et ainsi sur le blog collecter,partager.
Alors qui sait si l'an prochain nous ne serons pas un peu plus !
Je vous laisse mais je reviens bientôt !
Je dépose quelques mots du grand Julos Beaucarne, en un extrait "carpe diem et espoir" que j'ai à peine retouché :
S'il y a loin de vous
Au cœur du monde
Écoutez les feuilles
Tomber de vos arbres intérieurs
Et le présent vous sautera aux yeux
Croyez en l'extase des nuages
Qui traversent les grands horizons,
Au petit vent du soir
Au cœur de l'été chaud,
Croyez à la douceur d'une amitié
Ou d'un amour,
A la main qui serre votre main
car demain...
Il va falloir que je remonte le fil, mais citer Carlos Beaucarne, celui qui a été capable d'écrire "il faut s'aimer à tort et à travers" après avoir vécu une telle tragédie... Je vais revenir, non pour faire œuvre de poète, j'en suis incapable, mais pour lire et savourer. Merci.
RépondreSupprimerMerci bien de la visite et de ce commentaire.
SupprimerEt à bientôt peut-être.
(psst : on va dire Julos plutôt ;-))
Ah là là, comme quoi j'ai la tête à l'envers... ;-))
SupprimerPas d'inquiétude, ça va aller ;-)
SupprimerQuelle plus belle conclusion que ces mots de Beaucarne qui donnent de l'espoir. Merci à toi et aux autres d'avoir maintenu la poésie dans nos programmes de confinement. Toute l'année, nous devrions avoir un printemps des poètes pour traverser les hivers de notre vie. Bises alpines... de loin.
RépondreSupprimerMerci Damalpine. Oui, ce devrait, et en fait c'est, toute l'année. Dans les têtes au moins !
SupprimerÀ très bientôt K et un baiser amicale et fraternel à tous. Merci Julos.
RépondreSupprimerMerci encore chère Colo.
SupprimerUn beso ;-)