Je vous laisse découvrir le principe tout seuls !
La chauve-souris
La chauve cantatrice se réfugia sous une chaise à la vue d’une souris.
Le chou-fleur
Le chou bidou bidou de Sinatra se chantait comme une fleur.
L’oiseau-mouche
L’oiseau devient l’allié ailé de l’homme excédé et goba la mouche.
Le faux-monnayeur
Le faux, pâle copie mal exécutée d’un tableau connu, empêcha une durable
reconversion du monnayeur.
L’homme-tronc
L’homme privé de ses jambes se retrouva bas du tronc.
Le coq à l’âne
Le coq, sortant de sa cachette, ne se priva pas, à l’encontre du renard fraîchement
chassé, quelques coups de pied à l’âne.
Le vide-poches
Le vide de ses yeux tombe juste dessous dans ses poches.
Le café-théâtre
le café en brûlant avait fini par sentir le théâtre.
Diffractions
RépondreSupprimerDifférer la réponse n'empêche pas l'action
Bon, c'est de l'à peu près... mais c'était pour une pirouette en forme d'hommage :-)
Une variante qui se passe des noms composés.
SupprimerBonne idée !
Un petit faible pour l'avant dernière.
RépondreSupprimerle bien-dire
Le bien fondé de certaines remarques n'empêche pas de les mau-dire ;)
Bien vu sur le bien-dire !
SupprimerLe vide-greniers
RépondreSupprimerLe vide se fait sans rien empocher. N'ayant rien à y gagner - s'en contrefiche le grenier.
On frise l'aphorisme !
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