Je ne fourbis pas mes larmes, non
Pas d’écran blanc de mes nuits
noires
Seul ou en bande décidé
Je ne fais pas dans la prose à
reluire
J’évite la narration de survie
Y trouverai-je mon conte de
fleurettes
Si j’aborde des récits coralliens
Ballotté par de fines lames
Pour quelques polars de plus
A qui profite l’escrime ?
Si j’haïkuse le coup
Pour mener une vie de poèmes
Éviterai-je le sonnet qui cloche
Et cette fois à qui profite la
rime ?
Faut-il que je m’impose quatrain
Fasse le dos rond pour un rondeau
Qu’enfin je mette tout sur la
fable ?
A qui profite la rime? Mais à nous précisément qui passons, curieux de vos mots, à travers des récits coralliens pour suivre cette vie de poème que vous nous proposez là!
RépondreSupprimerMerci de suivre !
SupprimerFaites comme il vous plaira, en genre et en nombre nous nous accorderons !
RépondreSupprimerRestons au diapason !
SupprimerForêts de sonnets, brins de quatrains, ruisseaux de rondeaux : écrivons, poètes pouet pouet, sur les feuilles pas mortes bientôt chues.
RépondreSupprimerBonjour K, je mets du temps cette année à reprendre un rythme automnal...
Merci Christw, je vais retourner voir et lire vos bonnes feuilles d'automne !
SupprimerCa serait pas des fois d'Alexandre, hein ?
RépondreSupprimerLa Taulière
Ah, les Alexandre, hein, ils se mettent à trois pour faire des ponts à Paris.
SupprimerTe faufiler subtilement entre les genres; escrime ou rime, flots de sons où "les pierres moussent", ça brille toujours par ici, muy bien, un plaisir des sens.
RépondreSupprimerLes textes, les mots comme un ruisseau qui serpente.
SupprimerMerci
et que sur la fable, le vers soit toujours à moitié plein !
RépondreSupprimerLa Fontaine, je boirai de ton eau ?
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