(c)Bert LÖSCHNER
Elles n’avaient pu tenir.
Assaillies de questions sans réponses.
Un vrai siège.
Un cauchemar.
Elles vacillaient, ébranlées dans leur assise.
Alors qu’habituellement…
Avec les « autres », les « normales » …
Là, avec elles, pas possible.
Le cul entre deux chaises, on fait comment ?
Panique.
La chaise électrique, trop dangereux, inutile d’insister.
Pas fiable. Une véritable épreuve.
Elles se résolurent à accepter la séparation. Une paille.
Fini le soutien, tendrement enlacées, en bonnes camarades.
Les bras leur en tombèrent, regrets éternels.
Que n’avaient-elles pas fait là ?
Erreur fatale. Hantise.
Le couac entre deux chaises.
"Les bras m'en tombent" dit le tabouret. Bises alpines.
RépondreSupprimerHeureusement il avait un pied-à-terre.
SupprimerPour l'éternel, il y a un bien un lieu qui serait idéal pour enterrer deux corps de chaises ... Bon, ok ... je sors !
RépondreSupprimerRevenez quand vous vous voulez chère Espiguette !
SupprimerAs-tu pensé à un remake du film "les chaises de la vie"? De Sautet.
RépondreSupprimerJe note.
SupprimerSi jamais le budget ne passe pas pour "un fauteuil pour eux" ;-)
Il y a eu un couac avec mon commentaire d'hier. Les bras m'en tombent. J'essaie d'en trouver un autre, un "normal" : Une chaise normale a la vie longue donc, sans doute vaut-il mieux se séparer que s'étreindre ?
RépondreSupprimerEt du coup les chaises longues sont immortelles ?
Supprimer"parce que c'était lui, parce que c'était moi..."
RépondreSupprimerSt-François d'Assise... Euh non, Montaigne
Taulière depuis son fauteuil
Comme dirait Leroux, un fauteuil hanté ?
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