Vous avez l'adresse de ce "privé", j'en aurais besoin pour faire disparaître un non-personnage qui se prend pour Robin des bois. Votre texte "le domaine du vide", est fort bien construit. Je crois que ce domaine du vide, beaucoup d'auteurs dépeuplés de lecteurs s'y retrouvent entre eux, pour faire l'expérience du "trou", mais à plusieurs.
"Te rappelles-tu le vieux père Courveau : "Pourquoi est-ce que Pascal est troublant ? Parce qu'il est trou... trou... - Blé, prononça M. de Charlus comme s'il répondait encore à son professeur. - Et pourquoi Pascal est troublé ? Parce qu'il est trou... parce qu'il est trou... - Blant. - Très bien, vous serez reçu, vous aurez certainement une mention, et Mme la duchesse vous donnera un dictionnaire chinois." (M. Proust, "Sodome et Gomorrhe").
Holà, les poinçonneurs, vous avez agrandi le trou, quand manque d'inspiration et trou de mémoire étaient mes fils conducteurs. Un côté trou noir primordial, finalement.
J'ai comme un creux, à te lire. Comme une viduité du monde. Impressionnant.
RépondreSupprimerSigné F. Iloche
Vous avez l'adresse de ce "privé", j'en aurais besoin pour faire disparaître un non-personnage qui se prend pour Robin des bois.
RépondreSupprimerVotre texte "le domaine du vide", est fort bien construit.
Je crois que ce domaine du vide, beaucoup d'auteurs dépeuplés de lecteurs s'y retrouvent entre eux, pour faire l'expérience du "trou", mais à plusieurs.
"Te rappelles-tu le vieux père Courveau : "Pourquoi est-ce que Pascal est troublant ? Parce qu'il est trou... trou... - Blé, prononça M. de Charlus comme s'il répondait encore à son professeur.
RépondreSupprimer- Et pourquoi Pascal est troublé ? Parce qu'il est trou... parce qu'il est trou... - Blant. - Très bien, vous serez reçu, vous aurez certainement une mention, et Mme la duchesse vous donnera un dictionnaire chinois." (M. Proust, "Sodome et Gomorrhe").
Holà, les poinçonneurs, vous avez agrandi le trou, quand manque d'inspiration et trou de mémoire étaient mes fils conducteurs.
RépondreSupprimerUn côté trou noir primordial, finalement.
Au point zéro de l'écriture, il y a toujours une phrase qui repart.
RépondreSupprimerJoliment dit, Tania !
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