Mars, printemps, printemps des poètes exactement.
J'ai pris l'habitude d'y participer il y a quelques années par blog interposé.
Cette année la quinzaine se déploie du 4 au 19 mars 2018.
C'est donc l’occasion pour les Diffractions de publier un jour
sur deux un texte soigneusement sélectionné parmi les multiples sources, support
papier ou support numérique, que j’ai compulsées avec un grand plaisir.
"J'attends du lecteur qu'il ouvre un livre de poésie comme on ouvre une boîte d'allumettes" disait N. Judice dont j'avais il y a longtemps lu certains poèmes. Merci de me l'avoir remis en mémoire car j'ai ainsi pu relire, en portugais, certains de ses poèmes.
RépondreSupprimerbelle citation que je retiens, merci !
SupprimerC'est un moment que j'attends ici avec impatience; merci de ne pas faillir à tes excellentes habitudes!
RépondreSupprimerC'est parfait !
SupprimerUne accumulation d'interférences qui n'ont rien d'ondulatoire, sinon l'effet produit sur mes méninges déphasées, ont engendré un pic sinusoïdal m'avertissant que j'ai omis, ces dernières semaines, de venir ausculter, ami K, vos diffractions verbales. Bien m'en prend de venir ce matin, pour découvrir les subtiles préventions de Nuno Judice.
RépondreSupprimerBon dimanche.
Merci cher Christw, pas de problème ! A très bientôt,
SupprimerUn bien joli préambule au pouvoir des mots :-)
RépondreSupprimerBien dit , merci !
SupprimerHello. Je découvre. J'aime bien cette idée des mots friables entre les doigts et ceux qui sont solides. Les mots qui ne sont que maux devraient ainsi retourner à la poussière. Belle soirée.
RépondreSupprimerC'est bel et bien cette idée qui m'a accroché aussi ;-)
SupprimerJe ne connais pas Nuno Jùdice...
RépondreSupprimerL'idée des mots friables et des mots solides entre les doigts me séduit... comme si j'essayais de tenir un papillon par les ailes...
Analogie intéressante !
SupprimerHop il a filé !
Sortir les mots du silence et les y ramener. Belle entrée en matière, merci, K.
RépondreSupprimerMerci Tania, la "suite" ? ... demain !
SupprimerAh le retour du printemps des poètes ! Merci ! Baume au coeur, à l'âme, et découverte de Nuno Jùdice. Très attrayant le petit extrait...
RépondreSupprimerPour celleux qui le peuvent, écouter aussi Jacques Bonnafé chaque jour (printemps et autres saisons) de 15 h 55 à 16 h 00 ici https://www.franceculture.fr/emissions/jacques-bonnaffe-lit-la-poesie. C'est pas long mais c'est un rendez-vous que j'essaie de ne pas manquer !
La Taulière
Merci beaucoup chère Taulière :-)
SupprimerJe mets ce lien illico à disposition !
Complémentarité pyramidale oblige ;-)
Les mots s'échappent et à peine croyons-nous les saisir qu'ils nous échappent aussi. Ainsi cet extrait, troublante démonstration du non sens des mots qui ouvrent pour chacun d'entre nous des tiroirs distincts et incertains. Ce bleu que je vois céruléen, le voyez-vous comme je le vois ? Ce bonheur d'être près de vous, le reconnaissez-vous ? C'est peut-être là que naît la poésie, dans l' association d'une suite de mots qui se moque du sens commun pour s'approcher tout près de nous, si près même qu'ils donnent une voix à nos paysages intérieurs.
RépondreSupprimerCe texte de Judice est une belle découverte et une délicieuse ouverture au Printemps des Poètes.
Et parfois tiroirs à double-fond !
SupprimerMerci Espiguette pour cette réflexion, bien dans l'esprit !