Deux sonnets de chaque côté, voilà ce qui vous est proposé ce mois-ci.
Allez voir par ici : La Taulière vous y attend !
Ici, après un rappel sur qui a proposé quoi, chaque sonnet est juste en dessous.
Bonne lecture !
Mise à jour après une pause de trois mois, un nouveau blog TEXTURES a démarré le 18 mai 2022. Ici.
Bien envoyé ! De la poésilitique fiction (fiction...?!), bravo partner !
RépondreSupprimerMerci.
SupprimerUn néologisme à conserver !
"Il tétait l'ambition comme le biberon" m'a fait bien rire, j'ai vu tant de personnes défiler qu'on aurait dit le 14 juillet ;)
RépondreSupprimerAu jeu du sonnet, vous avez dû terminer "sonné", car c'est du boulot !
Le 14 juillet, belle image !
SupprimerSonné, c'est plus le personnage du 2e sonnet qui l'est !
Ta lecture fût fractale, m'en voilà sonnée !
RépondreSupprimerComme une unité de lieu, d'action et -presque- de temps- absolument pas préméditée.
SupprimerIl y a quelque sentiment de hargne ou de froide lucidité dans le second sonnet qui me le fait préférer au premier! Ca balance et ça interpelle! Du joli travail à vous deux pour un exercice bien délicat!
RépondreSupprimerMerci Alezandro.
SupprimerLe second -que tu cites- a pris fond et forme assez vite.
Froideur, hargne, ... et un presque détachement...
"Détroussé d'idées"...ce qui n'est vraiment pas ton cas!
RépondreSupprimerPlacer biberon-bavoir et brabançonne, de la haute voltige, bravo!
Bah, la responsable se reconnaîtra sur ces mots !
SupprimerLe plus extraordinaire de l'histoire, c'est que sur des sujets différents et des rimes imposées, vous arrivez à vous rejoindre sur le fond. Bravo !
RépondreSupprimerC'est -aussi- le jeu, mais c'est apparu après. Pas délibéré.
SupprimerOh là! Je ne comprends pas trop la poésie mais je me suis délectée à lire ces duos impétueux... ça semble presque facile (heuuuuuuuuuuu)
RépondreSupprimerEdmée, oui, c'est facile, mais...chuuuuuut ;-)
SupprimerWaouh, ce sonnet, bravo !
RépondreSupprimerJ'étais distraite, j'ai cru lire
"les Basques à coup de Brabançonne
Et te voilà déambulant parmi les Catalans".
Vais faire un tour chez la Taulière.
Je pense que le tour vaut largement le détour.
SupprimerMa pyramidale acolyte a brillé !
Un exercice de haut vol que j'ai relu plusieurs fois à haute voix. Et de mélanger les deux donne un gothique sans futal, pauvre gourou qui mendie au biberon. J'en ressors un peu sonné comme d'autres lecteurs. Sonnez, chantez, jouez. C'est bientôt Noël. ;-) Bises alpines.
RépondreSupprimerAh tiens, si en plus on mélange, décidément ces lecteurs, on ne les tient plus !!!
Supprimer2e lecture après une petite interruption d'internet : je confirme mon enthousiasme de la première lecture : Mr K joint la maîtrise poétique à l'art de la nouvelle : chaque sonnet une histoire, et je partage l'avis d'Alezandro : le 2e balance sec, ça pourrait faire une très chouette chanson !
RépondreSupprimerMerci, au passage, à l'honorable lectorat des 10fractions de m'avoir rendu une petite visite. Et... attendez-vous à encore bien autre chose le 15 janvier prochain, hum...
Puisque tu l'évoques, et autant l'unité d'inspiration n'a pas été préméditée, par contre l'idée d'une "petite histoire" m'a paru vite la piste ne serait-ce que pour lier ces mots plus qu'hétéroclites ... hum hum.
Supprimer;-)
Les pieds brisent la glace du sonnet bien façonné - façon déjantée.
RépondreSupprimerAu-delà de la performance technique qui n'est pas non plus rien, j'aime l'inspiration du poète de fond !
signé: une groupie comblée
Merci, la technique certes mais au service du fond, un peu comme l'esprit domine la matière !
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