J’ai trouvé ça :
« Ce qu’on appelle un poète n’est qu’une anomalie de
l’humain, une inflammation de l’âme qui souffre au moindre contact – même à
celui d’une brise. »
Christian Bobin
Etonnant comme je ne suis pas d’accord.
Mise à jour après une pause de trois mois, un nouveau blog TEXTURES a démarré le 18 mai 2022. Ici.
Christian Bobin parle peut-être de lui ?
RépondreSupprimerPossible. Mais il semble généraliser cependant...
SupprimerBobin, bobards riment parfois....
RépondreSupprimerDifférent et "anormal" et souffrant... Quel misérabilisme.
Supprimer"Je sais, pour être grimpé au sommet d'un arbre, que derrière la langue c'est un pré immense, avec des fleurs sombres, et de petits sentiers labyrinthiques" - Ce que je sais, Patrick Dubost (alias Armand le Poète), Cela fait-il du bruit ? (écrits pour la voix).
RépondreSupprimerEt toc, Bobin ! Il a jamais trouvé le pré, lui...
Beaucoup stimulant et intrigant, et surtout pas normatif :-)
SupprimerJe suis souvent d'accord avec Bobin (quand je "tombe" dessus, car je ne le cherche pas) mais ici, moi non plus je ne suis pas d'accord. Pas du tout. Or je ne suis pas non plus très portée vers la poésie, non que je n'aime pas mais je ne fonctionne pas "en poésie", généralement. Mais je ne vois pas du tout l'inflammation de l'âme :)
RépondreSupprimerPareil, Bobin je tombe dessus, et là plutôt deux fois qu'une.
SupprimerEt ne te sous-estime pas dans ton rapport ou fonctionnement en poésie :-)
Très, très bof !
RépondreSupprimerOn veut oublier la première négation "n'est que", pourrait remplacer "inflammation" par embrasement "souffre" par vibre, oublier "moindre" et "même" ... et pis et pis, vraiment tout oublier ...
Très limité, trop restrictif, bref un naufrage !
Supprimer