(c) Gauguin - Musée d'Orsay
Colo, sur son blog Espaces Instants, nous propose très régulièrement des textes, poèmes espagnols sud américains majoritairement, qu'elle traduit talentueusement.
Elle nous emmène ainsi sur des chemins où les découvertes sont nombreuses et palpitantes !
Merci.
Merci K, et parfaite l'illustration du désir de cavalcades équines.
RépondreSupprimerJe te remercie de cet envoi, j'aime le côté terrestre et organique du texte. Pulsations !
SupprimerUn beau poème tout en mouvements et en moments suspendus, merci, Colo & K. Superbe Gauguin.
RépondreSupprimerChère Tania, merci également et, en l'occurrence, cette coopération, ces échanges, ces textes et ces commentaires qui circulent sont un grand plaisir.
SupprimerCon Los caballo ser uno... Y Galopar, jinete del pueblo,
RépondreSupprimercaballo cuatralbo,
caballo de espuma.?
Je fais un lien qui n'existe peut être pas avec le poème de R. ALBERTI.
Qu'en penses tu Colo ?
Volver al galope del anca pulsando el arie seco
J’ai fait le même lien que toi Paula, il semble évident...enfin pour nos deux déjà!
SupprimerCette dame en plus est professeure de littérature espagnole, ou en espagnol, elle ne peut pas ne pas avoir pensé à ce poème d'Alberti. Merci.
On enfourcherait bien ces chevaux de liberté, éludant les obstacles, vers la fin du monde...
C'est rien de dire que je vous encourage à compléter avec le poème d'Alberti, chères amies ! Merci.
SupprimerIl est sur mon blog, ici
Supprimerhttps://espacesinstants.blogspot.com/2013/09/au-galop-rafael-alberti-galopar.html
Et déjà cette fois-là, c'était toi K qui l'avait suggéré je lis....
En effet, 2013, j'avais oublié...
SupprimerAlors merci Colo pour le lien et merci Paula d'avoir remis tout ça dans les boucles de nos mémoires !
l'avais...perdón
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