Le principe ? A lire ici !
Voici ma contribution :
Civil
C’était
une ville
Comme
il y en a cent comme il y en a mille.
Ne
restait que le vent suspendu à un fil
Le
linge qui y séchait était parti en exil
Disparu ?
évanoui ? dérobé ? ou en pile
Dont
la blancheur des draps obnubile
Était-ce des fantômes maintenant la ville ?
Non,
regardez, au milieu du boulevard se profile
Un
jardinier amoureux qui se faufile
Un
paquet à la main il jubile
A la
pensée de ce rouge à lèvres pour celle dont il est l’il
Tout
ceci se passait avant la naissance de Gilles.
IL est habile le poète qui file sa rime gracile...
RépondreSupprimerIl essaie ;-)
SupprimerLa poésie des villes tapinait la nuit au milieu des trottoirs.
RépondreSupprimerRouge à lèvres incendiaire,sous un réverbère, elle attendait son jardinier amoureux .
Quant il arriva, les bras chargés de fleurs de bitume, ils se racontèrent les flâneries des nuages et les causeries des vents.
Et les habits volés sur le fil d'étendage.
Le reste est affaire privée et ,somme toute, heureuse.
Car c'est ainsi que naquit la philo-poésie
Bien avant la naissance de Gilles ...Deleuze.
plouf! plouf! exercice du matin , tsoin, tsoin!
J'aime bien quand tu prends la balle au bond !
Supprimeroas facile mais réussi !
RépondreSupprimerMerci Caphys !
SupprimerOn fait ce qu'on peut !
Une façon subtile
RépondreSupprimerde nouer le fil...
¸¸.•*¨*• ☆
Bienvenue et merci.
SupprimerA vrai dire, je l'ai réalisé impromptu, volontairement très vite !
On aimerait bien tous écrire vite, tu le dis, et si si joliment!
RépondreSupprimerOh, c'est juste que ça s'emboîte bien.
SupprimerTrès vite ici, allez trente minutes maxi !